lundi 20 octobre 2025

Par économie, faudrait-il supprimer le ministère de la culture ou plutôt le réformer ?

 Le Ministère de la Culture

Vers une suppression du ministère de la culture

Quel sort pour la culture ?

Le budget du ministère de la Culture en 2026 devrait être de 3,7 milliards d'euros, ce qui correspond à une coupe de près de 300 millions par rapport au budget 2025 situé aux alentours de 4 milliards, ce qui correspond à une perte de 7%.
Selon le PLF 2026, le ministère de la Culture disposerait exactement de 3.736.487.969 € d'autorisations d'engagement, pour 3.747.857.177 € de crédits de paiement. La baisse est sensible, par rapport à la loi de finances pour 2025, qui prévoyait respectivement 4.028.739.645 € et 3.918.028.319.
Le budget de la rue de Valois serait donc considérablement revu à la baisse, une tendance que la loi de finances rectificative suivra sans doute. Le programme Patrimoines passe de 1,2 milliard € en 2025 à 1,04 milliard € en 2026, et celui dédié à la Transmission des savoirs et démocratisation de la culture de 810 millions € à 737 millions €.

Des opérateurs mis à contribution !
Si l'on considère le budget du ministère et celui de ses opérateurs, le total s'élève à 4,9 milliards €, à savoir : 3,6 milliards € pour le premier et 1,2 milliard € pour les seconds. La rue de Valois participe à l'effort financier avec une baisse de 300 millions, mais ses opérateurs ne sont pas pour autant oubliés.
Les moyens alloués auxdits opérateurs ou agences s'élèvent précisément à 1.288.436.222 €, un recul important par rapport aux 1.391.470.554 € de la loi de finances 2025. Les subventions pour charges d'investissement connaissent aussi une importante baisse, passant de 283 millions € à 153 millions €.

Les économies du gouvernement Lecornu vont bien entendu toucher les travailleurs de la culture, celles-ci présagent d'ailleurs la suppression de plus de 200 postes en équivalent temps plein, uniquement pour les taches ministérielles.
A noter, du ministère aux collectivités en passant par les Directions régionales des affaires culturelles, les financements sont à la baisse au contraire de ceux des armées, prévus singulièrement en hausse, pour cause de menace russe ?
Le Ministère de la culture est loin d’être le seul contributeur au fonctionnement de la culture en France : en 2019, sur les 17 milliards d’euros du budget de l’État alloué à la culture, seuls 3,6 milliards provenaient du Ministère. D’autres institutions, notamment l’Education et l’Enseignement Supérieur, mais aussi les collectivités locales contribuent grandement au financement de la création et production culturelles.
Les demandes d’économies adressées aux régions et aux collectivités territoriales, à hauteur de 4,6 milliards d’euros, devraient donc également conduire à une réduction massive des fonds alloués aux projets culturels, et des milliers d’emplois titulaires comme intermittents, seront immanquablement menacés. 

par éducation-programme

Financées à la fois par les contribuables, par les dotations de l'État et au besoin par l'endettement, il paraît d'actualité de s'interroger sur les dépenses des Régions et, plus généralement, sur le budget de l'État.
Faire des économies reste un exercice d’équilibre : il faut réduire les dépenses sans nuire à la croissance, à la cohésion sociale ni aux missions régaliennes.

Réduction des dépenses de fonctionnement de l’État selon chatGPT

Modernisation administrative
Numérisation accrue des services publics : dématérialiser davantage les démarches (fiscalité, justice, santé). Économie estimée : plusieurs milliards d’euros sur 5 ans.
Rationalisation des structures : fusion d’agences, réduction des doublons entre État et collectivités.
Revue des effectifs administratifs : remplacement partiel des départs à la retraite.

Achats publics
Mutualisation des achats entre ministères et collectivités.
Renégociation des contrats de prestations (informatique, communication, énergie).

Maîtrise de la masse salariale publique
Gel partiel du point d’indice (hors bas salaires et métiers en tension).
Encourager la mobilité interne pour limiter les recrutements externes.
Réduction des primes et indemnités redondantes.

Réformes structurelles
Ciblage des aides : réduire les aides non conditionnées aux revenus.
Lutte contre la fraude sociale et fiscale (plus de contrôles automatisés grâce à la data).
Encourager le travail des seniors pour réduire la charge des retraites.

Santé
Lutter contre les actes redondants, développement de la télémédecine.
Réorganisation hospitalière : mutualisation des achats, spécialisation par établissement.

Transition écologique
Suppression progressive des subventions aux énergies fossiles.
Conditionner les aides vertes à des objectifs mesurables de décarbonation.

Recettes complémentaires, sans hausse générale d’impôts
Lutte renforcée contre la fraude fiscale internationale.
Ciblage des niches fiscales.
Valorisation du patrimoine public, cession ou mise en location d’actifs non stratégiques.
Budgets de performance : chaque ministère doit prouver l’efficacité de ses programmes.
Audit annuel indépendant des politiques publiques.

*  *  *

Vers une suppression du ministère de la culture

Par économie, faudrait-il supprimer le ministère de la culture ou plutôt le réformer ?
La question revient périodiquement dans le débat public.
Cette institution est régulièrement remise en cause. Certains estiment qu’elle est devenue inefficace, coûteuse, voire inutile à l’époque du numérique et des plateformes mondialisées.
Cependant le ministère de la Culture joue ou a joué un rôle dans la préservation du patrimoine en protégeant les monuments historiques, en soutenant les musées, les bibliothèques et, plus généralement, en veillant à la transmission d’un héritage collectif.
Néanmoins beaucoup jugent que ce ministère est devenu un appareil bureaucratique lourd et centralisé, parfois déconnecté du terrain, avec des moyens financiers absorbés par son fonctionnement plutôt que distribués aux artistes qui dénoncent des procédures longues, des subventions arbitraires et une gestion trop parisienne. D’autres accusent l’État de politiser la culture : selon eux, les subventions favorisent certains courants esthétiques ou idéologiques, au détriment de la liberté de création avec un marché qui s'en trouve par ailleurs faussé.

Confrontés aux difficultés pour équilibrer des budgets grevés par l’augmentation des charges, les Régions et l'État mesurent que les solutions ne pourront plus reposer uniquement sur l’accroissement des financements publics et qu’il convient donc de repenser en profondeur leurs projets, dans leur rapport aux territoires et modèles économiques.
Dans ces circonstances, la commission culture de Régions de France a souligné l’urgence à se mobiliser pour engager une large réflexion sur le devenir du secteur culturel en France, en s'interrogeant notamment sur la pertinence des modèles centralisés et normatifs du ministère, sur son respect des droits et des diversités des expressions. Les Régions souhaitent donc, à leur échelle, se saisir publiquement et nationalement du sujet qui sera présenté lors de leur prochain Congrès.


Depuis la création du ministère des Affaires culturelles en 1959, le déploiement des politiques culturelles a reposé, à partir des différentes lois de décentralisation, sur une supposée coopération entre État et collectivités.

Mi-juillet, le Sénat publiait une note affirmant que la refonte de ces organisations pourrait permettre de faire 540 millions d’euros d’économies sur quelques années. La commission d'enquête a constaté que les agences se sont développées hors de toute stratégie d'ensemble, formant un archipel aux frontières mal définies. Conséquence directe, les Régions et l'État se verront également contraints d’opérer des choix.

Aujourd'hui, 91 milliards d'euros sont distribués aux différents opérateurs ou agences de l’État.

Parmi les opérateurs à vocation culturelle certains, comme l'Opéra de Paris ou la Comédie française, ont déjà perdu respectivement 6 et 5 millions d'euros et le budget de la culture, après cinq années de hausse, se trouve réduit fin 2024 de 204 millions d'euros.
Mais d'autres économies, propre au Ministère de la Culture, comme sa mutation souhaitable en un Secrétariat d’État, chiffrées cette fois non plus en millions mais en milliards, ne seraient pas pour autant impopulaires.

Le Centre National des Arts Plastiques coûte toujours 11.2 M€ et l'Académie de France à Rome pas moins de 10.9 M€. Le fonctionnement de cette Académie a d'ailleurs déjà fait l'objet d'un rapport d'information au nom de la commission des finances du Sénat :
Une suppression de cette Académie, c’est-à-dire de la Villa Médicis, serait, non seulement logique mais également salutaire au budget. En effet, cette Institution uniquement prévue pour accueillir les lauréats des Prix de Rome perdure, alors que la distinction des Prix de Rome a été abandonnée depuis 1968.
La nomination de directeur de la Villa Médicis se fait par décret du chef de l’État, celle-ci offre des opportunités de reclassement, ce qui peut expliquer que même devenue depuis longtemps inutile et sans objet, la suppression de la Villa ne figure pas à l'ordre du jour, pas plus que sa vente ou sa restitution aux italiens.

En 2022, le budget global des 22 Frac s'élevait à plus de 36 millions d'euros... Ces Fonds Régionaux d’Art Contemporain, créés à partir de 1982, voient désormais leurs responsables proches de la retraite. C'est aussi le moment opportun de s'interroger sérieusement sur ces institutions, sur leur rayonnement et leur coût ? Comme semble réagir en ce sens l'association Régions de France.

Les FRAC, voulus par un gouvernement de gauche, entérinés par un gouvernement de droite, ont contribué non seulement au discrédit de la gauche mais également à la détérioration durable de l'image de l'Art. L'art s’est coupé de la base populaire et laborieuse en devenant l'affaire, comme jamais auparavant, d'une classe extrêmement minoritaire.
Ces Fonds Régionaux d’Art Contemporain se trouvent désormais confrontés aux problèmes d’achat et de conservation.
Conformément à leurs statuts, ces institutions publiques ont acquis des oeuvres représentatives des courants significatifs de l’Art Contemporain, ou du moins considérés comme tel, mais qui de fait excluent 99% des créateurs.
Les deux objectifs fondamentaux fixés par le Ministère de la Culture, à savoir : l’acquisition et la diffusion auprès du grand public ne sont et ne peuvent plus être respectés.
- Les acquisitions, faute d'argent se raréfient. Il faut gérer la collection, les directeurs devenant des conservateurs. L’essentiel du budget étant réservé au fonctionnement.
- La diffusion dans différents lieux, par la nature même des créations reste souvent compliquée, et surtout elle n'intéresse pas le public.
Faute de pouvoir atteindre les objectifs du Ministère, il semble logique d’envisager la dissolution pure et simple de ces associations et par voie de conséquence de prévoir la disparition de tous les FRAC.

Au niveau des Régions, sans parler d'une mentalité et des appréciations forcément différentes concernant l'art dit contemporain et pour cause de budget contraint, les Frac n'achètent ou n'achèteront plus. Plusieurs se verront même dans l'obligation de mettre à profit les départs en retraite de leurs fonctionnaires dédiés, pour fermer et mettre un terme définitif à cette malencontreuse et coûteuse expérimentation. Idem pour les Centres d'art et la fermeture de celui de Pougues-les-Eaux, dans la Nièvre, en 2021, ne devrait plus constituer une exception.

Bien entendu, toute décision ne serait pas sans conséquence pour des milliers de fonctionnaires réduits plus ou moins au reclassement, et pour les quelques collectionneurs spéculateurs ou les très rares artistes vivant de subvention ou de commande d’État. Mais à bien réfléchir, ces propositions de réforme ou suppression rétabliraient justice et équité sociale chez des artistes qui se trouvent, pour une énorme majorité, exclus des choix et des achats publics. Ces importants changements réhabiliteraient aussi et surtout l'impartialité du marché, avec les indispensables économies recherchées par la France.

*  *  *

Rapports transmis à Madame Rachida Dati sur l'avenir des Ecoles et Centres d'art

Monsieur Pierre Oudart a remis en novembre 2023 à la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, les conclusions de la mission qui lui avait été confiée au printemps 2023 sur la situation des 33 écoles supérieures d’arts territoriales. Ces conclusions seront également portées à l'appréciation de Madame Rachida DATI, la nouvelle ministre.

Sans proposition de réformes structurelles de fond et sans remise en cause de l’entre-soi institutionnel, le document remis fin 2023 ne propose pas de solution pédagogique, tout juste quelques méthodes qui visent à sortir les écoles d'art de leur "délaissement administratif" et de leur globale marginalisation.
Notons toutefois dans le texte de ce rapport quelques lueurs de bon sens "Il faut privilégier la diversification des formations, leur caractère modulaire, l'acquisition et la certification de savoir-faire - Il faut en finir avec ces diplômes qui cachent de plus en plus mal un nouvel académisme où des étudiantes et étudiants passent trois ou cinq ans avec pour objectif principal de produire "un chef d'œuvre" que l'on appellera "diplôme" et qui encombrera ensuite le garage des parents ou des grands-parents" ou bien le FRAC le plus proche !
Pour lire la suite :


De : SALAUN Georges <georges.salaun@culture.gouv.fr>
Envoyé : mercredi 7 février 2024 09:12
À : Marc VERAT <m_verat@live.fr>
Objet : RE: Avec les félicitations du jury
 

Bonjour monsieur,

J’ai transmis votre message à la conseillère en charge du sujet.

Bien cordialement.

 

Georges SALAÜN

Chef de cabinet

Cabinet de la ministre de la Culture

 

3 rue de Valois, 75001 PARIS

Tél. : 01 40 15 80 22

www.culture.gouv.fr

 

Capture



Intelligence Artificielle

Aujourd'hui, l'intelligence artificielle est à la portée de tous, offrant un véritable atout pour simplifier des tâches comme la génération de textes, la création de visuels, le montage de sites web…. Les sites qui proposent ces aides, avec efficacité et simplicité d’utilisation, sont désormais nombreux.

L’intelligence artificielle est accessible à tous, et intégrer ces logiciels peut transformer la façon de travailler.
Automatisation et productivité : Les logiciels d’IA permettent d’automatiser les tâches répétitives (comme la création de contenu ou la transcription) pour libérer du temps et développer ce qui compte vraiment.
L’IA s’adapte aux besoins spécifiques et peut même être entraînée pour fournir des réponses et un contenu ajustés aux attentes, que ce soit en rédaction ou en création visuelle.
Précision et réduction des erreurs : Pour la transcription, la correction grammaticale ou d'autres vérifications, les logiciels d'IA garantissent des résultats précis et réduisent les erreurs.
Créativité : L’IA aide à explorer des idées nouvelles, créer des visuels ou développer des concepts inédits et personnels.
Accessibilité et coût réduit : Les logiciels d’IA gratuits ou peu coûteux permettent à tout le monde, même sans expertise technique, de réaliser des projets variés sans investir de grosses sommes.

Quelques exemples :
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MerciApp et son nouvel outil : MAIA, l’assistant de rédaction IA intégrée
HubSpot - Le générateur de site internet basé sur l'IA
Claude (Anthropic) – L’IA gratuite qui vient concurrencer ChatGPT sur la performance

Qu'est-ce-que l'intelligence artificielle ?
ChatGPT a dit :
L’intelligence artificielle (IA) est un domaine de l’informatique qui vise à créer des machines capables d’imiter certaines formes d’intelligence humaine — comme la perception, le raisonnement, l’apprentissage, la planification, la compréhension du langage ou la prise de décision.
Voici une explication simple :
L’IA, c’est quand un ordinateur ou un programme est conçu pour réaliser des tâches qui, normalement, nécessitent de l’intelligence humaine. Par exemple :
Reconnaître une voix ou un visage, traduire un texte automatiquement, recommander des vidéos...

Les techniques principales
Apprentissage automatique (Machine Learning) : l’ordinateur apprend à partir de données plutôt que d’être programmé explicitement.
Réseaux de neurones artificiels : inspirés du cerveau humain, ils sont à la base du Deep Learning, utilisé pour la reconnaissance d’images, de sons, ou la génération de texte.
Traitement du langage naturel (NLP) : permet à une machine de comprendre et de générer du langage humain.

Applications concrètes
Santé : aide au diagnostic médical
Finance : détection de fraudes, trading automatique
Industrie : maintenance prédictive
Éducation : tuteurs virtuels intelligents
Art : création de musique, d’images ou de textes

Défis et enjeux
Éthiques : biais, surveillance, emploi, vie privée
Techniques : fiabilité, compréhension des décisions de l’IA
Sociétaux : impact sur le travail, la créativité et la gouvernance

Définition formelle
L’intelligence artificielle désigne un ensemble de méthodes computationnelles permettant à un système d’acquérir, représenter et exploiter des connaissances pour réaliser des tâches de perception, de raisonnement, d’apprentissage ou d’action dans un environnement.
Exemples : traduction, résumé, génération de texte, raisonnement logique.



Autoportrait, Les Oubliés

ChatGPT : Marc Verat est un artiste-peintre français (Beaux‑Arts de Reims, Besançon ; La Plata en Argentine) actif depuis les années 1970, et fervent défenseur de la figuration face à l’hégémonie de l’art conceptuel ou minimaliste.
Avec sa série Les Hommages, il revendique une approche artistique référencée mais aussi critique à l’égard des institutions contemporaines de l’art.

L’art contemporain et ses institutions (1996)
« L’art contemporain et ses institutions » est une publication de 1996 – synthèse attribuée à Paulette Giry Laterrière dans le cadre du Ministère Jacques Toubon.
Le propos central : rééquilibrer la valorisation de formes artistiques dites plus classiques face à l’art conceptuel, et promouvoir un rapport plus intime entre l’œuvre et le public. Le rôle de l’État devrait être vu comme impartial et soutenant toutes les formes de création.
Thèmes et structure de l’ouvrage
D’après le synopsis publié en ligne, la structure comprend :
Un avant‑propos réflexif, des réflexions sur la crise de la représentation, la notion d’esthétique et de goût, des questions sur la commande publique, les institutions et leur avenir, des références à des usages concrets comme les pratiques institutionnelles à Pougues‑les‑Eaux (Nièvre), centre d’art local.
Mise en perspective : contexte institutionnel
Dans l’approche sociologique générale de l’art contemporain, les institutions (musées, centres d’art, biennales, écoles, fondations…) sont des agents structurants, mais parfois perçus comme normatifs ou récupérateurs. Le collectif du numéro 33 de la revue Marges plaide pour questionner ces dynamiques. L’art contemporain semble de plus en plus mondialisé et diversifié, ce qui rend la place des institutions plus complexe et évolutive qu’avant.

ChatGPT résumé
Élément
Contenu
Auteur
Marc Verat, artiste-peintre critique du minimalisme conceptuel
Titre
L’art contemporain et ses institutions (1996, synthèse P. Giry Laterrière)
Thèse principale
Appeler à un soutien équilibré des formes artistiques, valoriser la figuration, et repenser l’intervention publique
Structure clef
Du questionnement esthétique à l’examen du rôle institutionnel, jusqu’aux exemples de terrain


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A chaque époque son art officiel ! Parfois l'artiste l'ignore, parfois il y adhère plus ou moins et, plus rarement, il s'y oppose ouvertement. Depuis un demi siècle, le principe des manifestations d'art contemporain change peu et reste toujours aussi obscur ! Toute forme d’objet, pour suivre l'idée de Marcel Duchamp, peut devenir artistique si le monde de l’art le présente comme tel, avec grands renforts de textes, souvent incompréhensibles, de théories toutes autant hermétiques et de marketing culturel en lien étroit avec les Institutions.